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Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.

Groupe 1

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AAPPMA de LÉROUVILLE

MEUSE SAUVAGE

- Rive gauche - Territoire de LÉROUVILLE et PONT / MEUSE
Amont : petit pont du canal de décharge «La Petite Prairie».
Aval : 500m en aval - niveau première clôture « Le Closel ».

- Dérivation du Breuil
Amont : 200m en amont de la confluence
Aval : confluence Meuse Sauvage

- Rive droite pour un linéaire de 1685m
Amont : 300m en amont du Pont de la RD12
Aval : 300m en amont du barrage dit de VADONVILLE à PONT / MEUSE.

CANAL DE L’EST - Branche Nord

- Bief N°7, sur le chemin de contre-halage, rive Droite.
Amont : écluse «Portes de garde»
Aval : écluse de Vadonville

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  • Pêche au coup: quiver tip et au feeder

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONLa particularité de ces pêches au coup est qu'elles se pratiquent sans flotteurs, en "plombée". Ligne tendue, votre scion de canne à tête est l'indicateur de touches.

    Avec ou sans cage d'amorçage (feeder), ce sont des techniques de pêche au moulinet très ludiques qui permettent de pêcher une grande variété de cyprinidés, du gardon à la carpe, et de toucher des sujets de belles tailles.

  • Pêche de la truite à l'ultra-léger

    Voir l'image en grand FNPFLe pêche de la truite à l'ultra-léger regroupe les techniques qui consistent à rechercher la truite à l'aide d'un lancer avec des leurres imitant principalement les petits poissons dont elle se nourrit.

    Choix du leurre, discrétion de l'approche et connaissance des postes, précision de lancer, réalisation de l'animation du leurre,... ces pêches de précisions vous permettront de rechercher les truites jusqu'au coeur de leurs caches.

    Cuillères tournantes, petites ondulantes, et de plus en plus poissons nageurs et leurres souples, autant d'expériences à découvrir et à perfectionner à travers cette pêche itinérante permettant de rencontrer la reine de nos eaux vives.

    En savoir plus

  • Pêche de la truite au vairon manié

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONLa pêche de la truite au vairon manié est une technique s'apparentant au mort-manié mais dont le matériel, l'esche et l'animation sont orientés à la recherche de Dame Fario.

    Il s'agit de fixer un vairon mort sur une monture adaptée afin de le manier pour le présenter à la truite comme une proie en difficulté.

    Pêche active de prospection, particulièrement efficace sur les gros sujets qui sont friands de ce poisson, elles vous permettra de parcourir la rivière de poste en poste.

    En savoir plus

  • Pêche de la truite aux appâts naturels/Toc

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONQuoi de plus efficace que le naturel ?

    Que ce soit au "Toc" ou à la "volante", ces techniques sont efficaces car elles consistent à présenter à la truite, de manière la plus naturelle possible, les proies qu'elle rencontre dans son milieu : larves aquatiques d'insectes, éphémères, sauterelles, vers de terre,... autant d'esches à votre disposition qu'il faudra choisir judicieusement et présenter de la bonne manière.

    Pêches sensitives, ces techniques vous permettront également de développer vos connaissances des habitudes alimentaires de ce poisson qui constituent la principale clef de réussite avec la discrétion de l'approche.

  • Pêche des carnassiers à la tirette

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONCette technique a été particulièrement développée pour rechercher le sandre bien que l'on puisse attraper d'autres carnassiers avec.

    Permettant de prospecter des secteurs en se concentrant sur le fond où aiment évoluer les sandres, elle consiste à faire déplacer par "tirettes" un montage composé d'un lest coulissant suivi par un bas de ligne d'une cinquantaine de centimètres où sera esché un vif.

    Pour orienter sa pêche vers d'autres carnassiers on pourra adapter le montage ainsi que l'esche utilisée (vers de terre, leurre souple,...).

  • Pêche des carnassiers au "mort-manié"

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONLe mort-manié est une pêche itinérante pour traquer les carnassiers que l'on peut effectuer du bord mais qui se révèle plus adaptée pour les pêches embarquées.

    Comme son nom l'indique cette technique active consiste à animer un poisson mort, préalablement installé sur une monture adaptée, afin de le faire évoluer dans la couche d'eau comme si il s'agissait d'une proie en difficulté.

    Alliant la capacité de prospection de la pêche aux leurres et les stimuli d'une proie naturelle, le mort-manié est redoutable pour débusquer les prédateurs. Cette technique permet souvent de faire la différence lorsque brochets et sandres "boudent" les leurres artificiels.

  • Pêche des carnassiers au vif

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONLa pêche au vif est une technique pour attraper les carnassiers : brochets, sandres, silures et à moindres mesures les grosses perches.

    Comme son nom l'indique, cette technique consiste à escher un poisson vivant, en général un poisson blanc, sur une ligne flottante ou plombée. La pêche au vif est donc particulièrement efficace car elle maintient sur une zone une proie dont la difficulté de se mouvoir attirera un carnassier à la recherche d'une nourriture facile.

    Très accessible, cette technique ne nécessite pas de connaissances ou d'une dextérité aussi poussées que dans d'autres pêches des carnassiers. Elle peut éventuellement se pratiquer en parallèle d'une pêche au coup ou encore à roder.

  • Pêche des carnassiers aux leurres

    Voir l'image en grand FNPFSi le leurre est vieux comme le monde, des cuillères ondulantes en os de la période préhistorique à la cuillère tournante à pompon rouge de nos aïeux, la pêche aux leurres connait une révolution depuis la fin des années 90.

    Sous l'impulsion de l'introduction des techniques américaines et japonaises, la pêche aux leurres en France a vu l'explosion des techniques et des leurres de plus en plus adaptés à ses carnassiers.

    Pêche de prospection par excellence, technique et moderne, elle a tout pour plaire. Vous pourrez rechercher brochets, sandres, perches, black-bass, silures mais également les chevesnes ou les truites !

    Que ce soit du bord ou en embarcation, en pêche de surface ou profonde, aux poissons nageurs ou aux leurres souples,... Il existe toujours une solution pour répondre aux conditions de pêche... ou à vos envies !

  • Pêche moderne de la carpe

    Voir l'image en grand FNPF-L.MADELONLes techniques modernes de la carpe, d'abord développées dans les années 80 par nos homologues anglo-saxons permettent de se mesurer aux carpes, poissons aussi méfiants que puissants.

    Pêche pouvant se révéler extrêmement technique, reposant sur un matériel moderne parfois à la pointe de la technologie, la prise d'un poisson trophée (parfois + de 30 Kg) vient valider et récompenser les efforts et la stratégie déployée.

    La pêche moderne de la carpe en France connait un réel succès, les techniques ne cessent d'évoluer, elle fait également partie des pêches qui ont développées le "No Kill" ou "Catch and release" dans le paysage halieutique français.

    Enfin cette pratique est la seule qui vous permettra de pratiquer de nuit sur les secteurs consacrés.

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  • Able de Heckel

    Able de Heckel
    Famille :

    Cyprinidés

    Leucaspius delineatus

    Noms locaux :

    lisette, dos-vert

    Couleur : dos verdâtre, flancs blancs

    L'able ressemble à une petite ablette (il ne dépasse pas 5 à 6 cm). Il s'en distingue par sa bouche dirigée vers le haut, sa ligne latérale qui ne court que sur une dizaine d'écailles. Il vit souvent en banc dense, en rivières lentes ou en étang.

    A savoir

    Il se pêche à la ligne très fine, sa touche est très rapide !!

  • Ablette

    Ablette
    Famille :

    Cyprinidés

    Alburnus alburnus  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    blanchet, albe, aube, aublat, mirandelle, sardine, abbé, garlesco…

    Aspect : corps fin, comprimé latéralement, couvert d’écailles peu adhérentes. La bouche est nettement dirigée vers le haut.

    Couleur : argentée et brillante. Le dos est gris-bleu, les nageoires sont grisées.

    Taille : de 10 à 15 cm.

    L’ablette se rencontre partout en France et fréquente lacs - notamment les grands lacs alpins - gravières et rivières lentes à eaux claires. Elle se maintient dans certains grands fleuves mais tend à reculer lorsque la qualité des eaux se dégrade. Vivant souvent en bancs, les ablettes se dispersent durant l’été pour se regrouper à la fin de l’hiver. Etres du plancton, vers et larves, constituent l’essentiel de son alimentation. Durant l’été on la verra fréquemment en surface rechercher les insectes.

    A savoir

    L’ablette est attirée par les eaux troubles.
    L’amorce sera liquide, blanche et mouillée avec du lait pour provoquer un nuage, lequel séduira immanquablement dame ablette.

  • Anguille

    Anguille
    Famille :

    Anguillidés

    Anguilla anguilla  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    pimpreneau, anguielo, pougau, poun…

    Aspect : le corps est serpentiforme et protégé par un mucus très épais.

    Couleur : dos sombre et ventre jaune, la couleur varie selon l’âge, s’éclaircissant à la maturité sexuelle (dos vert-gris, flancs aux reflets argentés et ventre blanc).

    Taille : les plus gros sujets - généralement des femelles - atteignent jusqu’à 1,50 m alors que les mâles demeurent d’une longueur inférieure à 50 cm.

    L’anguille fait partie des grands migrateurs. Elle se reproduit dans la mer des Sargasses : les larves rejoindront nos côtes au terme d’un voyage qui durera deux années. L’anguille poursuit sa croissance en eau douce durant 5 à 15 ans. Les anguilles ont une activité essentiellement crépusculaire ou nocturne. En eau douce l’anguille est carnassière et se nourrit de vers, larves diverses, petits poissons, oeufs et alevins.

    A savoir

    Longtemps considérée comme nuisible elle est aujourd’hui classée espèce en danger.

  • Barbeau fluviatile

    Barbeau fluviatile
    Famille :

    Cyprinidés

    Barbus barbus  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    barbillon, barbet, barbot, barbu, coquillons, drenek, barboti…

    Aspect : corps de forme cylindrique. La bouche, placée sous la tête, est bordée de lèvres charnues garnies de quatre barbillons.

    Couleur : brun-vert sur le dos et jaunâtre sur le ventre.

    Taille : de 30 à 50 cm (500 g à 3 kg), certains sujets dépassant 70 cm et 10 kg.

    Le barbeau vit en bandes dans les zones courantes. Il préfère les fonds caillouteux ou rocheux. Omnivore*, il consomme vers, larves, insectes, mollusques et débris végétaux. Il pond entre mai et juillet. Pour trouver des zones favorables, peu profondes et riches en herbiers, les adultes effectuent des migrations vers l’amont et il est fréquent, à cette époque, de les trouver remontant les échelles à poissons.

    A savoir

    Le barbeau se pêche dans les zones courantes, à proximité des piles de pont, des rapides, à l’aval des barrages ainsi qu’au milieu des gros blocs. Vers de terre et gruyère sont les esches les plus employées.

  • Black-bass

    Black-bass
    Famille :

    Centrarchidés

    Micropterus salmoïdes  -  Découvert par Lacépède en 1802

    Noms locaux :

    achigan, perche noire, perche d’Amérique…

    Aspect : corps de forme allongée et trapue. Le maxillaire inférieur déborde la mâchoire supérieure et l’un comme l’autre sont garnis de nombreuses dents.

    Couleur : dos vert-bronze et ventre blanc. Une bande sombre s’étend le long des flancs vert-olive à reflets argentés.

    Taille : de 20 à 35 cm (pour un poids de 300 à 500 g). Le black-bass dépasse rarement 50 cm pour un poids de 2 kg.

    Le black-bass affectionne les eaux lentes ou stagnantes, bien enherbées, chaudes en été et tempérées en hiver. Il mange tout ce qui est consommable (insectes, vers, têtards…) avec une prédilection pour les petits poissons.
    Durant le printemps, le mâle prépare un nid en forme de cuvette où la femelle dépose ses oeufs. La ponte est farouchement gardée par le mâle qui protège ensuite les alevins durant 2 à 3 semaines.

    A savoir

    En France, on pêche le black-bass au ver manié ou aux leurres, à proximité immédiate des herbiers. Sa recherche est particulièrement attractive et sa défense vigoureuse.

  • Bouvière

    Bouvière
    Famille :

    Cyprinidés

    Rhodeus amarus  -  Découvert par Bloch en 1785

    Noms locaux :

    rosière, péteuse, dormille, cuzeau…

    Aspect : corps aplati latéralement recouvert de grandes écailles. La ligne latérale est très brève (sur 5 ou 6 écailles).

    Couleur : dos gris-vert, ventre à reflets rosés et arrière des flancs marqué d’une bande bleutée.

    Taille : petite espèce, elle ne dépasse pas 5 à 7cm.

    La bouvière vit en bandes dans les eaux lentes ou stagnantes, à fond de vase, où les moules (anodontes) sont abondantes. Elle se nourrit essentiellement des animalcules de petite taille vivant à proximité du fond.

    À noter : la bouvière est plus fréquente qu’on ne le croît, les repeuplements ayant facilité sa dispersion.

    A savoir

    Ce sont les particularités liées à son mode de reproduction qui confèrent à la bouvière tout son intérêt : en mai-juin, la femelle développe un tube de ponte lui permettant de déposer une quinzaine d’oeufs à l’intérieur de la coquille d’une moule (anodonte). Les alevins demeurent ainsi à l’abri, durant plusieurs semaines.

  • Brème

    Brème
    Famille :

    Cyprinidés

    Abramis brama  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    plaque, brémotte, platusso, henriot, brame, brassen, brémo…

    Aspect : corps très aplati latéralement, précédé d’une petite tête et recouvert d'un épais mucus. La bouche, dépourvue de barbillons*, peut s’étirer en forme de tube (protractile).

    Couleur : le vert-bronze du dos s'éclaircit sur les flancs. Les nageoires sont grises. À noter : les plus gros sujets ayant des reflets jaunes dorés, on les appelle "brèmes carpées" mais ce ne sont pas des hybrides entre carpe et brème.

    Taille : de 30 à 45 cm (500 g à 2 kg).

    La brème vit en groupes dans les étangs et les rivières lentes. Elle prélève sa nourriture (vers, larves, crustacés, végétaux) sur ou dans le sédiment du fond qu’elle fouille sur quelques centimètres. Appréciée des pêcheurs de concours pour son poids, sa régulation par les prédateurs n'est pas aisée. Le brochet consomme les jeunes brèmes que le sandre au gosier étroit ne parvient pas à ingurgiter.

    A savoir

    La brème se pêche à proximité des herbiers,
    sur des coups copieusement amorcés :
    ajoutez à l’amorce du pain essoré,
    des asticots morts et du brasem à l’odeur sucrée
    pour l’attirer à coup sûr.

  • Brochet

    Brochet
    Famille :

    Esocidés

    Esox lucius  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    bec-de-canard, luceau, pogneau, pansard, béchet, brouché, hecht...

    Techniques associées :

    Pêche des carnassiers au "mort-manié"

    Aspect : corps très allongé, tête fendue d'une bouche très large (en forme de bec de canard), armée de 700 dents. La dorsale du brochet - placée au niveau de l'anale - lui permet des démarrages soudains et violents.

    Couleur : dos vert foncé à bandes plus claires, flancs verdâtres et ventre blanc.

    Taille : les sujets dépassant le mètre et pesant de 10 à 20 kg ne sont pas rares.

    Ce redoutable prédateur présent partout en France affectionne les étangs riches en végétaux aquatiques mais vit aussi dans les fleuves et les canaux où il joue un rôle primordial dans la chaîne alimentaire. Solitaire, il se poste souvent en bordure d'obstacle pour chasser à l'affût. La ponte est précoce et s'effectue dans les zones peu profondes. L'hiver est une période de choix pour la recherche du brochet et les meilleurs postes se situent toujours près d'obstacles.

    A savoir

    La pêche au lancer permet de prendre des brochets de toutes tailles, à la cuiller, au poisson-mort, au poisson-nageur ou au leurre souple. La récupération doit être lente et coupée de nombreux relâchers : là, sera la clé de votre succès...

  • Carassin

    Carassin
    Famille :

    Cyprinidés

    Carassius carassius  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    carache, carouche, carougue, gibèle, meule…

    Aspect : cousin proche du poisson rouge, le carassin ressemble à une petite carpe. Il s’en distingue par sa bouche dépourvue de barbillon* et dirigée vers le haut.

    Couleur : corps brun à reflets cuivrés.

    Taille : 20 cm.

    Le carassin vit dans les rivières lentes, les étangs peu profonds, riches en végétation. Il peut résister à des conditions difficiles. Il consomme des végétaux tendres mais aussi des proies animales (plancton, larves, vers…). Sa facilité de capture et sa rusticité font du carassin un poisson non dépourvu d’intérêt en particulier pour les enfants.

    A savoir

    Le carassin doré, variété d’élevage, possède les mêmes caractéristiques que le carassin mais sa robe peut varier du jaune d’or au rouge vif, ce qui le fait parfois appeler, à tort, poisson rouge.

  • Carpe

    Carpe
    Famille :

    Cyprinidés

    Cyprinus carpio  -  Découvert par Linné en 1758

    Noms locaux :

    kerpen, karpf, escarpo, feuille, seille, carpillon, nourrain…

    Aspect : corps allongé, épais, couvert d’écailles. La bouche porte quatre barbillons et peut s’allonger en un tube qui lui permet d’aspirer les aliments. Le premier rayon de la dorsale et celui de l'anale, durs et dentés, ressemblent à de véritables scies auxquelles le fil du pêcheur ne résistera pas.

    Couleur : dos brun, flancs aux reflets cuivrés et ventre jaune.

    Taille : en moyenne 10 kg mais certains sujets dépassent le mètre pour 25 kg !

    Préférant les eaux lentes ou stagnantes - chaudes en été et riches en végétaux - et présentes partout en France, hors zones de montagne, les carpes vivent en bancs même si les plus gros sujets demeurent isolés. La carpe avale vers, larves et plantes, qu’elle recherche sur le fond et dans le sédiment jusqu’à une profondeur de 20 cm. Les carpes se reproduisent lorsque la température atteint 20°C. La carpe se pêche aujourd’hui essentiellement à l’anglaise et si les anciens consommaient leurs prises, on préfère désormais remettre délicatement le poisson à l’eau après la pesée (et la photo !).

    A savoir

    Les sélections successives ont donné naissance à diverses races destinées à la consommation : corps plus élevé, squelette et écaillure réduite - la carpe miroir n'a que quelques écailles et la carpe cuir en est entièrement dépourvue -, leur croissance est souvent rapide.

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La dernière fête de la pêche

Saut du Brochet

Etang Perroi à Herméville en Woëvre
HS

Perche

Etang Perroi à Herméville en Woëvre
FDPPMA55

Truite Fario

L'Aire à Fleury
ER

Sandre

Meuse à Vacherauville
ER

Ombre

La Saulx à Mognéville
ER
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Quam ob rem ut ii qui superiores sunt

submittere se debent in amicitia,

sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.

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sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.


CPIE meuse

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iam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.

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Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.

Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.

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